lundi 5 décembre 2022
Retour vers l'hiver
mercredi 30 novembre 2022
Jour d'attente
mardi 29 novembre 2022
Retour à Guatemala City
lundi 28 novembre 2022
Playa
dimanche 27 novembre 2022
Livingston: chez les garifunas
samedi 26 novembre 2022
Tikal
Semuc-Champey
Buenos dias,
vendredi 25 novembre 2022
Florès
mercredi 23 novembre 2022
Les Guatemalous font du tourisme
mardi 22 novembre 2022
Retour Fuego
lundi 21 novembre 2022
El Fuego (le feu)
dimanche 20 novembre 2022
L'aventure continue
Fin du blocage
vendredi 18 novembre 2022
On est à la tv du Guatemala
Si nous étions en Ukraine
Vers le Mexique
Buenos dias,
jeudi 17 novembre 2022
Les Guatamalous continuent leurs aventures
mercredi 16 novembre 2022
Transfert vers Quetzaltenango
mardi 15 novembre 2022
L'aventure, c'est l'aventure.
lundi 14 novembre 2022
Atitlan

Pedro, du costaud avec 1200 de dénivelé, mais c'est trop dangereux car il y a trop de bandits. J'avais prévu un remplacement, le Nez de l'Indien que nous ferons demain matin. Ce ne sera qu'une demi-journée. L'après-midi, il y a des activités proposées par l'association.

dimanche 13 novembre 2022
Pacaya
samedi 12 novembre 2022
Guatemala: bien arrivés
mercredi 9 novembre 2022
Guatemala
Après 2 ans au point mort à cause du Covid, on repart au Guatemala. Pourquoi au Guatemala ? J'ai grimpé pas mal de volcans, vu des fumerolles, mais je n'ai jamais vu de lave. Si le Fuego veut bien continuer de cracher comme aujourd'hui, mais pas trop quand même, nous verrons de la lave depuis le volcan voisin, l'Acatenango. Nous dormirons là-haut et pourrons observer les explosions de ce Fuego. Ce sera la seule nuit en montagne. Il y a même une webcam qui filme ce volcan que vous pouvez voir : https://www.vision-environnement.com/livecams/webcam.php?webcam=volcan-fuego
Je pense que ce sera mon avant-dernier trek et aussi mon avant-dernier 4000m (le Tajumulco -4203m-, plus haut sommet d'Amérique Centrale et l'Acatenango à qui il manque toutefois quelques mètres -3976m-). Pourquoi, avant-dernier ? Tout simplement, pour garder de l'espoir. J'avais déjà eu du mal à grimper deux 4000m il y a 3 ans en Chine et en Kirghizie. 3 ans plus tard, je ne sais pas si j'y arriverai.
Nous sommes 11 avec seulement 2 nouveaux Odile et Robert qui étaient dans le Chemin des Bonshommes. Les autres sont des habitués, voire très habitués comme Marcel. Sa conjointe Michèle est déjà venue dans les randos, mais pas en trek. Et puis, il y a Paulette et Claude, Jocelyne et Thierry et enfin Maryline et Philippe, tous des habitués. Donc 5 couples. Je serai le vétéran célibataire.
J'avais trouvé l'année dernière une petite agence, mais elle n'a pas de bus en novembre, si bien qu'il a fallu tout reprendre à zéro. Nous louons un minibus avec chauffeur assez cher, mais rechercher chaque jour un minibus pour aller faire un volcan, faire une visite ou faire un transfert, çà prend du temps. Au début, nous grimperons un volcan un jour sur 2 et nous finirons par du tourisme en ne manquant pas le célèbre site maya de Tikal et le site côtier de Livingston habité par des descendants d'esclaves et accessible seulement en bateau.
Problème en ce moment, l'euro a pris une claque, si bien que tout coûte 20% de plus, avion compris. On aurait pu prendre l'avion beaucoup plus tôt, mais j'ai reculé au maximum pour voir comment évoluait le Covid.
Ceux qui veulent rêver avec nous tapent « Guatemala blog » sur Google et tombent sur de fantastiques récits avec des photos aguichantes.
Je joins une petite carte du Guatemala sur laquelle on peut voir approximativement notre circuit avec 2 nuances : nous irons à Semuc-Champey à partir d'Antigua et le détour par Copan au Honduras est simplement une possibilité pour notre dernier jour.
Tout cela était bien sur le papier, mais il est arrivé l'ouragan Nicole qui va justement toucher la Floride cette nuit. L'aéroport d'Orlando est déjà fermé, pas Miami pour l'instant. American Airlines nous a proposé de changer nos billets, mais c'est compliqué pour 11. On tente donc le départ cette nuit (lever à 1h30) en bus avec le risque que notre avion soit annulé à Roissy.
A suivre.
Yves.
Le programme:
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lundi 17 octobre 2022
Film Calanques
Nous avons eu beaucoup de chance pour notre séjour dans les Calanques. Nous devions faire plus de style escalade et en fait le style crapahute a été prédominant.
Vous pouvez voir le film qui résume cette semaine : https://youtu.be/EoRjg6BmchI
Les images de base sont celles de ma Gopro attachée sur mon ventre, ce qui permet de ne pas l'abîmer , mais fait que souvent on voit mes mains ou le rocher juste devant. Certains seront peut-être impressionnés par le vide et penseront que l'on prend des risques. Mais je n'ai jamais vu quelqu'un faire un faux pas dans cette situation ; je ne suis pas sans rappeler, même à des chevronnés, que l'on regarde toujours le paysage à l'arrêt.
Yves.
vendredi 7 octobre 2022
Fin des Calanques
jeudi 6 octobre 2022
Oeil de verre, mon oeil!
mardi 4 octobre 2022
Les papys et les mamies abandonnent
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On domine la calanque de Sormiou |
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Guy ouvre la voie |
lundi 3 octobre 2022
Les papys et les mamies dans les Calanques
lundi 20 juin 2022
Chemin des Bonshommes
Bonjour,
mercredi 1 juin 2022 | Jour 1 : route Roquefixade. |
jeudi 2 juin 2022 | Jour 2 : Roquefixade - Montségur. |
vendredi 3 juin 2022 | Jour 3 : Montségur - Comus. |
samedi 4 juin 2022 | Jour 4 : Comus - Ax-les-Thermes. |
dimanche 5 juin 2022 | Jour 5 : Ax-les-Thermes - Mérens. |
lundi 6 juin 2022 | Jour 6 : Mérens - Porté-Puymorens. |
mardi 7 juin 2022 | Jour 7 : Porta - Coborriu de la Llosa - Bellver de Cerdanyá |
mercredi 8 juin 2022 | Jour 8 : Bellver - Bagà |
jeudi 9 juin 2022 | Jour 9 : Bagà - « La Salle » - Gósol |
vendredi 10 juin 2022 | Jour 10 : Gósol - l'Espà - Casanova de les Garrigues - Berga puis transfert Porta |
samedi 11 juin 2022 | Jour 11 : retour |
Nous avons donc fait le GR107 appelé Chemin des Bonshommes. C'était le chemin par lequel les Cathares s'enfuyaient vers l'Espagne. Il va plein sud de Foix à Berga en Espagne. J'avais volontairement sauté la 1ère étape FoixàRoquefixade car elle a une grande partie sur route.
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Château de Roquefixde |
Nous étions 11 dont 2 qui n'ont fait que les 6 premières étapes. Il y avait des personnes bien habituées : Marcel (le plus capé de loin) et sa femme Michèle, Marie, Thierry et sa femme Jocelyne et Michel. Un couple de nouveaux : Robert et Odile, ma fille Gaëlle et Arnaud, le conjoint de ma dernière qui était le plus jeune. Pour ma part, je restais le plus vieux.
Les premières étapes sont communes au Chemin des Cathares. Nous avons visité le château de Roquefixade et celui de Montségur. Sur celui-ci, nous avons eu la chance de tomber sur un guide expansif qui nous a fait vivre cet assaut historique qui a duré 8 mois. La visite du musée a ensuite bien complété nos connaissances.
Bien que ce GR soit assez côté, nous avons rencontré très peu de personnes que ce soit en sens inverse ou dans le même sens que nous.
J'avais auparavant fait quelques bouts de GR, notamment sur la Vallée des Merveilles et le tour du Mont Blanc. C'est la 1ère fois que je faisais un GR entier. Mon ressenti est que je ne suis pas du tout fait pour ce type de GR, je m'ennuie très vite sur les grands chemins forestiers. Il me faut des vues, des torrents, de la faune, de la flore… ou bien attaquer un sommet ou un haut col. Par contre, nous avons eu un temps extraordinaire avec 3 gouttes d'orage. Un peu chaud, mais par chance, nous avons fini juste avant la grande canicule.
Les gîtes ont été en général à la hauteur. Mention spéciale aux 3 nuits espagnoles : auberge La Bruna à Bellver, hôtel El Reco de l'Avi à Baga et refuge Moli de Gosol. En France, mention spéciale aux tentes du Silence du Midi à Comus avec son patron flamand, aux gîtes du camping de Sorgeat et à l'auberge du Nabre à Mérens. Le soir du 4 juin, nous avons mangé au relai l'Art y est joie à Sorgeat avec des plats marocains et asiatiques. La cuisinière était vietnamienne et étant violoncelliste, elle nous a joué 2 morceaux que nous avons appréciés.
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Rodhodendrons et genêts |
Le groupe était endurant. Les montées se faisaient sur un rythme de 400 m/h, ce qui est très correct. Thierry et Michel sont bien sûr capables de monter beaucoup plus vite ; pour eux, c'était de la balade. Il est maintenant assez loin le temps où je partais devant pour filmer, je me contente de rester au milieu du peloton en faisant en sorte d'écouter mon cœur. Pas de gros bobos, mais quelques frottements dans les godasses, un genou récalcitrant et des tiques nombreuses. La plus longue journée de marche : 9h.
Yves.