Bonjour,
Grosse queue à Miami pour le contrôle des sacs, mais nous avons réussi à avoir la correspondance. Et grosse queue à Roissy pour le contrôle d'entrée en France. C'est vraiment n'importe quoi! Et à la sortie de l'aéroport, le froid nous a saisis; quel changement par rapport aux 30° humides de Livingston quelques jours avant.
Nous regretterons le blocage des routes qui nous a empêchés de monter le Tajumulco, plus haut sommet de l'Amérique Centrale avec 4200m.
Après la 1ére expérience d'erreur dans la note de restaurant, nous avons vérifié à chaque fois et très souvent, il y avait une exagération: arrondi très nettement au-dessus, bières comptées en plus, note consistant en un seul montant griffonné sur un bout de papier... On a eu l'impression qu'ils ont pensé qu'à 11, on ne verrait rien. On a rencontré 2 copains qui voyageaient ensemble et qui n'ont pas eu ce problème, par contre ils avaient remarqué que leurs parts étaient plus petites que celles des locaux. Dommage, car on a été très bien accueillis partout. Notre chauffeur, Paolino s'est plié en 4 pour nous. Il était payé 125 quetzals par jour, soit environ 10€ par jour. Le salaire moyen est semble-t-il 5 fois moins élevé que chez nous.
Nous ne sommes pas sortis de nuit, mais de jour, nous n'avons pas eu de tentative de vol. En ville, il y a des policiers partout. Et pas mal de gens sont armés.
Bien que ce soit le début de la saison sèche, la météo a été moyenne avec du crachin pour l'Acatenango (heureusement que la soirée a été meilleure pour voir le Fuego), de la brume au sommet du volcan Santa Maria qui nous a empêchés de voir le volcan Santiaguito qui est actif et 2 gros orages sur Livingston (heureusement de nuit).
Le côté aventures n'a pas troublé la bonne humeur du groupe notamment lors de cette nuit inconfortable dans le minibus. Côté santé, pas de gros problèmes, mais tout de même 3 indigestions, l'une tout au début, les 2 autres tout à la fin. Côté coût, pas de dépenses imprévues si ce n'est le surcoût de presque 20% dû au dollar. Les hôtels et les repas étaient très abordables. La bière a été notre carburant de base, la seule eau achetée par Robert s'avérant plus chère! Le minibus nous a coûté cher, mais il était indispensable, surtout que l'on a beaucoup circulé. Les 'backpackers' en bavent avec leurs gros sacs à dos à porter partout (nos sacs restaient dans le minibus) et les transports locaux inconfortables (les Chicken Bus) et aux horaires compliqués.
A suivre.
Yves.
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