Le mont Blanc au fond |
Bonjour,
Ce matin, lever à 3 h 35. Élie qui devait nous réveiller n'a rien entendu avec ses boules Quies. Mais comme d'habitude dans toutes les ascensions que j'ai faites, je n'ai pas dormi et donc j'ai donné l'alarme. Guy n'a pas du tout retrouvé la forme, nous ne sommes donc que 3, Jacques, Élie et moi. Petit-déj à 4 h et départ vers 4 h 45. Défilé habituel des frontales dans la nuit.
Jacques s'imagine arrêter vers 3500 m. Pour ma part, je me fixe 3700 m, hauteur que j'ai faite l'année dernière au Guatemala. Nous trouvons rapidement le névé et plus tard, le glacier est recouvert de neige dure. Le rêve pour grimper quand on a la pêche, mais çà on ne l'a pas. Nous montons donc péniblement. Jacques prend la tête de la cordée, Élie au milieu et moi derrière avec le reste de corde. On aperçoit les autres cordées dans la pente assez prononcée.
Et puis, on aperçoit le sommet et sans se concerter, on a une soudaine envie d'y aller. On monte donc lentement et on finit par l'arête très aérienne. Même autour de la madone, l'espace est très restreint.
Notre mascotte au sommet |
Jacques |
A suivre.
Yves
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