lundi 22 octobre 2018

20 octobre Pokhara, le choc

Namaste,

Nous avons quitté ce matin cette sympathique famille chez qui nous avons passé 2 nuits. Il y avait les parents, les fils de 29 et 28 ans et la fille de 21 ans. Ils ont été aux petits soins pour nous. Ils élevaient des lapins sur leur terrase supérieure.

Nous avons repris les transferts pour nous rendre à Pokhara dans un bus touristique, c'est-à-dire que presque tout le monde était assis. Sinon, dans les bus locaux, on entasse.
Le 1er bus dans la montagne avançait à la moyenne de 15km/h avec le terrain infect et les milliers de vaches, de chiens et surtout de chèvres à éviter. La voiture que nous avons prise à Nepalgunj faisait une moyenne de 45lm/h; il faut dire qu'il y avait des lignes droites, rares ici.
Aujourd'hui, nous avons mis 6h pour faire 120km. Là, c'était plutôt les motos, les piétons, les voitures et les bus qu'il fallait éviter et de plus la route était montagneuse.
A l'arrivèe, nous avons pris 2 taxis qui ne connaissaient pas l'hôtel que nous avions réservé. Quand le chauffeur du 1er taxi a trouvé, il a foncé et nous qui étions dans le 2ème taxi, nous voilà perdus; par chance, j'avais repéré le quartier la veille sur internet et l'on est tombé sur notre hôtel par hasard. Nous commencions à être affamés. Avec Guy, nous avons pris une soupe de nouilles et comme un imbécile, j'ai oublié de dire ´no spacy ´ la gaffe! Presque immangeable! Une bakery nous a permis de prendre des douceurs.
Pourquoi le titre ´le choc ´? Depuis le départ du trek, nous n'avons vu que quelques rares occidentaux et là, c'est la foule. En parallèle, il y a des milliers de magasins, de restaurants, d'hôtels sur certainement 5 km le long du lac.

Coucher de soleil sur le lac de Pokhara.

A suivre.
Yves.

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