mardi 15 septembre 2015

Contretemps bien employé


Buenos dias,
Ce matin, lever à 3 h 30 et à 4 h, nous étions sur la rue. Mais à 5 h, toujours rien. Que faire? J'ai envoyé un mail, mais à cette heure-là! Je n'avais pas appelé avec mon portable; j'ai donc essayé et miracle, le guide a répondu qu'il avat envoyé un mail et que le départ était repoussé au lendemain car il avait trouvé 3 autres personnes. Nous sommes donc retournés au lit bien contrariés. Et que faire de cette journée.
Je suis allé voir le guide à 8 h et ai vu qu'il avait fait effectivement un mail hier, mais à une autre adresse mail. J'essaierai d'expliquer la chose plus tard. Il aurait tout de même pu attendre un OK.
Pour la journée, en faisant très vite, on a pu organiser une journée que j'avais prévue plus tard. Nous sommes donc allés en bus touristique voir la Puya Raimondi, plante en voie de disparition qui grandit en presque 100 ans, fleurit alors de presque 8000 fleurs en mai et meurt. Elle peut faire 14 m. Très original!

Nous avons continué vers la station de neige du Pastoruri, fini à pied  jusqu'à 4860 m et touché la glace. On se dirait en Argentine au Périto Moreno avec les falaises de glace qui se jettent dans le lac glacé.
Nous avons vu encore une fois que l'on doit restreindre très nettement son allure à cette altitude. On a eu quelques flocons de neige; le temps semble très incertain.

Sur la photo, il y a avec nous un jeune français, un couple de jeunes bavarois avec qui on a fraternisé et une péruvienne qui s'est trouvèe là par hasard; oui oui vraiment par hasard, on voit tout de suite les mauvaises langues.
Demain, nous partons, du moins on l'espère avec donc 3 autres jeunes; apparemment il y a du suisse et de l'israëlien.
Et donc, pas de nouvelles pendant 10 à 12 jours.
La ville de Huaraz n'a rien de typique; il faut dire que le tremblement de terre de 1970 a fait 70000 morts dans la région. Yungay, la petite ville voisine, a été ensevelie par une coulée de boue.
Hasta luego.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire